Des amateurs de Games of Throne par ici? J'hésite à m'acheter la saison 1...
saute dessus une des meilleurs série que j'ai vu.
argh. failli le prendre aujourd'hui en même temps que ceux listés ci-dessus.
next time
"Run! It’s the Apocalypse Cow. Horizontally opposed twin udders of flaming destruction! Laser blast foglight eyes! Angry cartoon headlights! Grazing on the carcasses of defeated sportbikes in corners."
BATTLESHIP
ATTENTION : Ne pas lire ce qui suit si :
a) Vous avez aimé Transformers(ou n'importe lequel des films de Michael Bay)
b) Vous avez toujours rêvé de voir porté à l'écran le jeu de l'oie, puissance 4 ou Le morpion.
Spoiler: Highlight to view
Que fait un cinéaste à qui l'on confie la délicate tâche de diriger un film dont le synopsis tient sur un feuillet A5 recto verso (les règles du jeu LA BATAILLE N'AVALE / Touché-Coulé).
Fastoche, une scène de quelques longues minutes.
Et pour l'enrobage(faut quand même tenir les spectateurs en haleine au minimum 90 minutes avec ce genre de blockbusters) on remixe des idées et des plans pêchés ici et la dans d'anciens succès commerciaux.
Dans le désordre on à(entree autres) : Top Gun, Independence day, Armageddon.
Pour le casting on à :
Dans le rôle du jeune premier qui passe bien à l'écran, rebelle, torturé, borderline auto-destructeur et carrément tête brulée mais doué en tout et qui va sauver le monde à la fin à la suite d'un évènement tragique qui le fera instantanément devenir l'incarnation même du super-américain : Tom Cruise n'étant plus vraiment assez jeune et s'étant un peu grillé à Hollywood, on à qu'à prendre un illustre inconnu genre beau-gosse californien.
Dans le rôle de la blondasse, médecin de son état, fille du Militaire ultra gradé sous les ordres duquel notre héros se fait enrôler, draguée dans un bar avant de connaitre son pédigrée : Encore une fois, Kelly Mc Gillis, premier choix de la directrice du casting, n'étant pas disponible, on prend n'importe quelle Bimbo siliconée, ça économisera des sous pour les cachetons de Rihanna et de Liam Neeson, qui ont manifestement besoin de payer leurs impôts (je leur rappelle au passage quil est temps de retourner leur Tax Return Form).
Dans la bande de vieux loups de mer à qui on fait appel en dernier recours pour sauver la planète : une brochette de vieillards anonymes qui auront bien sûr droit à une émouvante scène au ralenti ou ils marcheront en direction de la caméra. Hommage ou pillage... je reste indécis...
Dans le rôle des vilains ennemis pas beaux et très très méchants(mais aux tares inversément proportionnelles à leur avance technologique) sur qui on va faire pleuvoir le juste feu de la toute puissance américaine : On à d'abord pensé aux russes mais aujourd'hui les communistes ça fait plus vraiment recette. Et si à la place on engageait de vilains extra-terrestres dans des armures qui ne seront pas sans rappeler celle fièrement arborée par un certain Master chief(non, ce n'est pas le gagnant de la dernière saison d'un diner presque parfait).
Bref, pour résumer, c'est de l'entertainment très médiocre, qui à le goût et l'odeur d'un film de Michael Bay(mise en scène brouillonne voire illisible, beaucoup d'explosions, aucune velléité de vraisemblance). D'un autre côté fallait pas trop en attendre d'un film issu de l'accord passé entre Hasbro et Universal pour porter à l'écran certaines licences détenues par la célèbre marque de jouet. Cet accord est notamment à l'origine de la trilogie(quadrilogie en 2014) Transformers, et devrait, si l'on en croit les rumeurs, nous gratifier prochainement d'une adaptation de MONOPOLY (non, ce n'est pas une blague).
Ce que j'ai retenu : Un destroyer de plusieurs milliers de tonnes peut faire un stoppie à pleine vitesse et repartir instantanément en marche arrière et un cuirassé, encore plus lourd, peut partir en drift grâce à l'utilisation astucieuse de son ancre en guise de frein à main.
Ce qui m'à le plus déchiré le coeur : Les commentaires du jeune public en fin de séance, emballés et ravis par cet "excellent film" "vachement stylé".
Maintenant, si vous le permettez, je vais aller pleurer un moment... fort de la certitude qu'au lieu de COULER, ce film va permettre aux producteurs de TOUCHER des péniches de billets verts
Rollmops : n.m. Poisson cru et cuistre. Umoure draule, noir, aigri! "Design is not just what it looks like. Design is how it works." (S.Jobs)
BATTLESHIP
ATTENTION : Ne pas lire ce qui suit si :
a) Vous avez aimé Transformers(ou n'importe lequel des films de Michael Bay)
b) Vous avez toujours rêvé de voir porté à l'écran le jeu de l'oie, puissance 4 ou Le morpion.
Spoiler: Highlight to view
Que fait un cinéaste à qui l'on confie la délicate tâche de diriger un film dont le synopsis tient sur un feuillet A5 recto verso (les règles du jeu LA BATAILLE N'AVALE / Touché-Coulé).
Fastoche, une scène de quelques longues minutes.
Et pour l'enrobage(faut quand même tenir les spectateurs en haleine au minimum 90 minutes avec ce genre de blockbusters) on remixe des idées et des plans pêchés ici et la dans d'anciens succès commerciaux.
Dans le désordre on à(entree autres) : Top Gun, Independence day, Armageddon.
Pour le casting on à :
Dans le rôle du jeune premier qui passe bien à l'écran, rebelle, torturé, borderline auto-destructeur et carrément tête brulée mais doué en tout et qui va sauver le monde à la fin à la suite d'un évènement tragique qui le fera instantanément devenir l'incarnation même du super-américain : Tom Cruise n'étant plus vraiment assez jeune et s'étant un peu grillé à Hollywood, on à qu'à prendre un illustre inconnu genre beau-gosse californien.
Dans le rôle de la blondasse, médecin de son état, fille du Militaire ultra gradé sous les ordres duquel notre héros se fait enrôler, draguée dans un bar avant de connaitre son pédigrée : Encore une fois, Kelly Mc Gillis, premier choix de la directrice du casting, n'étant pas disponible, on prend n'importe quelle Bimbo siliconée, ça économisera des sous pour les cachetons de Rihanna et de Liam Neeson, qui ont manifestement besoin de payer leurs impôts (je leur rappelle au passage quil est temps de retourner leur Tax Return Form).
Dans la bande de vieux loups de mer à qui on fait appel en dernier recours pour sauver la planète : une brochette de vieillards anonymes qui auront bien sûr droit à une émouvante scène au ralenti ou ils marcheront en direction de la caméra. Hommage ou pillage... je reste indécis...
Dans le rôle des vilains ennemis pas beaux et très très méchants(mais aux tares inversément proportionnelles à leur avance technologique) sur qui on va faire pleuvoir le juste feu de la toute puissance américaine : On à d'abord pensé aux russes mais aujourd'hui les communistes ça fait plus vraiment recette. Et si à la place on engageait de vilains extra-terrestres dans des armures qui ne seront pas sans rappeler celle fièrement arborée par un certain Master chief(non, ce n'est pas le gagnant de la dernière saison d'un diner presque parfait).
Bref, pour résumer, c'est de l'entertainment très médiocre, qui à le goût et l'odeur d'un film de Michael Bay(mise en scène brouillonne voire illisible, beaucoup d'explosions, aucune velléité de vraisemblance). D'un autre côté fallait pas trop en attendre d'un film issu de l'accord passé entre Hasbro et Universal pour porter à l'écran certaines licences détenues par la célèbre marque de jouet. Cet accord est notamment à l'origine de la trilogie(quadrilogie en 2014) Transformers, et devrait, si l'on en croit les rumeurs, nous gratifier prochainement d'une adaptation de MONOPOLY (non, ce n'est pas une blague).
Ce que j'ai retenu : Un destroyer de plusieurs milliers de tonnes peut faire un stoppie à pleine vitesse et repartir instantanément en marche arrière et un cuirassé, encore plus lourd, peut partir en drift grâce à l'utilisation astucieuse de son ancre en guise de frein à main.
Ce qui m'à le plus déchiré le coeur : Les commentaires du jeune public en fin de séance, emballés et ravis par cet "excellent film" "vachement stylé".
Maintenant, si vous le permettez, je vais aller pleurer un moment... fort de la certitude qu'au lieu de COULER, ce film va permettre aux producteurs de TOUCHER des péniches de billets verts
c'est donc un film pour beo
M'en vais aller voir ce métrage histoire de pouvoir également vomir dessus mais en toute connaissance de cause.
Il faudra encore patienter pour voir un bon film du genre (Pacific Rim de Del Toro)
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Je n'insinue rien.
Je constate simplement qu'en général, les avis de Rollmops et moi ne sont souvent à l'opposé des tiens. Après nos gouts ne sont pas forcément meilleurs que d'autres hein !!
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Bonne surprise. Scenario classique mais qui fonctionne. Mise en scène travaillée, mais là pas étonnant car c'était déjà le cas dans les précédents film de Chabat. La découverte du nid est d'une poésie Wouahhhh. D'ailleurs un gros travail du directeur photo pour les scènes du marsupilami. Les touches d'humour façon les Nuls et donc "Monty Python style", fonctionnent du tonnerre (pour autant que l'on accroche à l'humour british) et sont nombreuses. Les acteurs s'en sorte très bien. Jamel joue bien et ne fait pas son one man show pourri. Juste la Pétunia qui est mauvaise.
Et le principal : Le Marsupilami est KAWAiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Bonne surprise. Scenario classique mais qui fonctionne. Mise en scène travaillée, mais là pas étonnant car c'était déjà le cas dans les précédents film de Chabat. La découverte du nid est d'une poésie Wouahhhh. D'ailleurs un gros travail du directeur photo pour les scènes du marsupilami. Les touches d'humour façon les Nuls et donc "Monty Python style", fonctionnent du tonnerre (pour autant que l'on accroche à l'humour british) et sont nombreuses. Les acteurs s'en sorte très bien. Jamel joue bien et ne fait pas son one man show pourri. Juste la Pétunia qui est mauvaise.
Et le principal : Le Marsupilami est KAWAiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
Intéressé mais un peu réticent au début, finalement sur conseil d'ami(e)s j'y suis allé hier aussi:
comme toi, bien apprecié, j'aime bien cet humour des nuls (qui l'eut cru) et des Monthy Python,
De jolies images, des passages bien sympas (chorégraphie de malades, karaoké pas évident, Lambert Wilson un peu à contre emploi par moment )
Moi j'aime bien Géraldine Nakache, mais hormis sa prestation, c'est aussi le rôle qui était vraiment petit et qui reste en dessous des autres.
Et comme dans d'autres film de Chabat et des sketchs des Nuls y a pléthore de gags visuels et détails cachés, qui en cas de multiples visionnages apporte un petit plus.
Un téléfilm à relativement gros budget, qui nous vient directement du pays qui nous à gratifié de perles telle que Aus der Reihe Derrick. A ma grande surprise, je dois avouer avoir été agréablement surpris par cette fresque moyenâgeuse plutôt réussie.
Il ne s'agit pas d'un épique blockbuster ou on embroche du sarrasin par grappe, ni de la quête initiatique d'un jeune palefrenier partant occire un dragon. On est ici plongé dans l'ambiance du Saint Empire Germanique d'après les croisades et les grandes épidémies/famine, dans une sorte d'enquête policière mêlant les superstitions de l'époque et l'obscurantisme de la Sainte Église. Non sans rappeler le Nom de la Rose par certains aspects, il s'agit cependant d'une œuvre assez fraîche et honnête, avec une photographie agréable, et un casting plutôt convainquant. A noter que le doublage français est méritoire, et constitué de plusieurs voix familières.
Rollmops : n.m. Poisson cru et cuistre. Umoure draule, noir, aigri! "Design is not just what it looks like. Design is how it works." (S.Jobs)
Un téléfilm à relativement gros budget, qui nous vient directement du pays qui nous à gratifié de perles telle que Aus der Reihe Derrick. A ma grande surprise, je dois avouer avoir été agréablement surpris par cette fresque moyenâgeuse plutôt réussie.
Il ne s'agit pas d'un épique blockbuster ou on embroche du sarrasin par grappe, ni de la quête initiatique d'un jeune palefrenier partant occire un dragon. On est ici plongé dans l'ambiance du Saint Empire Germanique d'après les croisades et les grandes épidémies/famine, dans une sorte d'enquête policière mêlant les superstitions de l'époque et l'obscurantisme de la Sainte Église. Non sans rappeler le Nom de la Rose par certains aspects, il s'agit cependant d'une œuvre assez fraîche et honnête, avec une photographie agréable, et un casting plutôt convainquant. A noter que le doublage français est méritoire, et constitué de plusieurs voix familières.
Pas vu mais selon ton texte, il te faudrait voir ça si ce n'est pas déjà fait :
D'une puissance !!!!!!
PS : A l'époque il savait CREER des affiches de film qui avait de la gueule. Et non pas de superposition photoshopée....
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Sur la piste du Marsupilami Qu'est-ce qu'on croyait qu'il n'existait pas, mais qu'il n'existe?
C'est officiel, j'ai définitivement perdu mon âme d'enfant. Je comprends pourquoi ce film fonctionne, et lui reconnaît effectivement une image vraiment réussie pour un film Français(je suis un peu plus mitigé par les CGI mais ça reste d'excellente facture), mais je ne peux m'empêcher de ressentir un certain malaise, comme pour la plupart des films basés sur des BD Franco-Belges de mon enfance.
L'oeuvre de Hergé ou de Franquin(mais je pourrais évoquer aussi Roger leloup, Goscinny et Uderzo et tant d'autres) font partie de souvenirs d'enfance très précis, et ce n'est pas simplement l'humour potache qui donnait corps à ces histoires(d'autant qu'il existait souvent plusieurs degrés de finesse, insoupçonnés de prime abord). La plume du dessinateur leur donnait une vie et un cachet qu'aucun acteur casté ne pourra imiter, et l'expérience de parcourir un album, planche après planche, en lisant mentalement les bulles avec des voix purement imaginaires faisait partie intégrale de l'expérience.
J'ai l'impression que ce film est destiné à des enfants d'aujourd'hui(le ton et l'humour), qui n'ont pas forcément d'attachement pour ces personnages, tout gavés qu'ils sont d'éponges au pantalons carrés et autres Ben Ten, mais pille le patrimoine culturel de la génération de leur parents pour racoler. Le Marsupilami est ici un prétexte pour mettre bout à bout un maximum de gags(de lourds à carrément lourdingues). Le film fonctionnerait parfaitement avec une créature différente et anonyme.
Oui, la scène du nid est très réussie, et le petit clin d'oeil final(qui à dit séquelle?) assez amusant, je dis pas que c'est un mauvais film, juste que ça reste un film de Chabat avant d'être un film sur le Marsupilami, avec des dialogues taillés sur mesure pour Djamel, qui joue du Djamel(et des putains de chorégraphies avec des vrais morceaux de Karaoké dedans, pouahhhh).
Je sais, je suis un vieu con réactionnaire dans certains domaines!
Rollmops : n.m. Poisson cru et cuistre. Umoure draule, noir, aigri! "Design is not just what it looks like. Design is how it works." (S.Jobs)
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#1516argh. failli le prendre aujourd'hui en même temps que ceux listés ci-dessus.
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"Run! It’s the Apocalypse Cow. Horizontally opposed twin udders of flaming destruction! Laser blast foglight eyes! Angry cartoon headlights! Grazing on the carcasses of defeated sportbikes in corners."
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#1517J'ai acheté, épisode 6 pour l'instant et j'accroche bien
EDIT: Bon ben à quand la saison 2 en BR?
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#1518Sympa mais sans plus, "l'humour" d'Eddy Murphy à bien mal vieilli, tout comme lui
Une bonne grosse claque, vraiment impressionnant et bien fait, j'ai beaucoup aimé!!!
Un bon film un poil space mais bien prenant!
On peut limiter la vitesse, mais rien ne peut freiner la passion!
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#1519BATTLESHIP
ATTENTION : Ne pas lire ce qui suit si :
a) Vous avez aimé Transformers(ou n'importe lequel des films de Michael Bay)
b) Vous avez toujours rêvé de voir porté à l'écran le jeu de l'oie, puissance 4 ou Le morpion.
Fastoche, une scène de quelques longues minutes.
Et pour l'enrobage(faut quand même tenir les spectateurs en haleine au minimum 90 minutes avec ce genre de blockbusters) on remixe des idées et des plans pêchés ici et la dans d'anciens succès commerciaux.
Dans le désordre on à(entree autres) : Top Gun, Independence day, Armageddon.
Pour le casting on à :
Dans le rôle du jeune premier qui passe bien à l'écran, rebelle, torturé, borderline auto-destructeur et carrément tête brulée mais doué en tout et qui va sauver le monde à la fin à la suite d'un évènement tragique qui le fera instantanément devenir l'incarnation même du super-américain : Tom Cruise n'étant plus vraiment assez jeune et s'étant un peu grillé à Hollywood, on à qu'à prendre un illustre inconnu genre beau-gosse californien.
Dans le rôle de la blondasse, médecin de son état, fille du Militaire ultra gradé sous les ordres duquel notre héros se fait enrôler, draguée dans un bar avant de connaitre son pédigrée : Encore une fois, Kelly Mc Gillis, premier choix de la directrice du casting, n'étant pas disponible, on prend n'importe quelle Bimbo siliconée, ça économisera des sous pour les cachetons de Rihanna et de Liam Neeson, qui ont manifestement besoin de payer leurs impôts (je leur rappelle au passage quil est temps de retourner leur Tax Return Form).
Dans la bande de vieux loups de mer à qui on fait appel en dernier recours pour sauver la planète : une brochette de vieillards anonymes qui auront bien sûr droit à une émouvante scène au ralenti ou ils marcheront en direction de la caméra. Hommage ou pillage... je reste indécis...
Dans le rôle des vilains ennemis pas beaux et très très méchants(mais aux tares inversément proportionnelles à leur avance technologique) sur qui on va faire pleuvoir le juste feu de la toute puissance américaine : On à d'abord pensé aux russes mais aujourd'hui les communistes ça fait plus vraiment recette. Et si à la place on engageait de vilains extra-terrestres dans des armures qui ne seront pas sans rappeler celle fièrement arborée par un certain Master chief(non, ce n'est pas le gagnant de la dernière saison d'un diner presque parfait).
Bref, pour résumer, c'est de l'entertainment très médiocre, qui à le goût et l'odeur d'un film de Michael Bay(mise en scène brouillonne voire illisible, beaucoup d'explosions, aucune velléité de vraisemblance). D'un autre côté fallait pas trop en attendre d'un film issu de l'accord passé entre Hasbro et Universal pour porter à l'écran certaines licences détenues par la célèbre marque de jouet. Cet accord est notamment à l'origine de la trilogie(quadrilogie en 2014) Transformers, et devrait, si l'on en croit les rumeurs, nous gratifier prochainement d'une adaptation de MONOPOLY (non, ce n'est pas une blague).
Ce que j'ai retenu : Un destroyer de plusieurs milliers de tonnes peut faire un stoppie à pleine vitesse et repartir instantanément en marche arrière et un cuirassé, encore plus lourd, peut partir en drift grâce à l'utilisation astucieuse de son ancre en guise de frein à main.
Ce qui m'à le plus déchiré le coeur : Les commentaires du jeune public en fin de séance, emballés et ravis par cet "excellent film" "vachement stylé".
Maintenant, si vous le permettez, je vais aller pleurer un moment... fort de la certitude qu'au lieu de COULER, ce film va permettre aux producteurs de TOUCHER des péniches de billets verts
Rollmops : n.m. Poisson cru et cuistre. Umoure draule, noir, aigri!
"Design is not just what it looks like. Design is how it works." (S.Jobs)
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#1520Vanishing Point, Pulp Fiction et Death Proof
Beer, Bike & Rock'N'Roll !
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Localisation: La Croix
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#1521c'est donc un film pour beo
M'en vais aller voir ce métrage histoire de pouvoir également vomir dessus mais en toute connaissance de cause.
Il faudra encore patienter pour voir un bon film du genre (Pacific Rim de Del Toro)
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#1522T'insinue quoi là?
On peut limiter la vitesse, mais rien ne peut freiner la passion!
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Localisation: Dans les graviers
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#1523Que les 98% des films que tu regardes (dont 80% que tu apprécies) sont à chier, selon ce que l'on peut constater des tes posts dans ce topic !
Note : ca passait, c'était beau ! MouetteMouetteMouetteMouette
Inscription: 28/03/2010
Localisation: Chexbres
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#1524Je l'aurai pas forcément formulé comme ça
Quoique ...
La sincérité, ça manque quand meme cruellement d'imagination.
Inscription: 28/09/2006
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#1525Je n'insinue rien.
Je constate simplement qu'en général, les avis de Rollmops et moi ne sont souvent à l'opposé des tiens. Après nos gouts ne sont pas forcément meilleurs que d'autres hein !!
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#1526Bonne surprise. Scenario classique mais qui fonctionne. Mise en scène travaillée, mais là pas étonnant car c'était déjà le cas dans les précédents film de Chabat. La découverte du nid est d'une poésie Wouahhhh. D'ailleurs un gros travail du directeur photo pour les scènes du marsupilami. Les touches d'humour façon les Nuls et donc "Monty Python style", fonctionnent du tonnerre (pour autant que l'on accroche à l'humour british) et sont nombreuses. Les acteurs s'en sorte très bien. Jamel joue bien et ne fait pas son one man show pourri. Juste la Pétunia qui est mauvaise.
Et le principal : Le Marsupilami est KAWAiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
Inscription: 23/01/2007
Localisation: La Neuveville
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#1527Intéressé mais un peu réticent au début, finalement sur conseil d'ami(e)s j'y suis allé hier aussi:
)
comme toi, bien apprecié, j'aime bien cet humour des nuls (qui l'eut cru) et des Monthy Python,
De jolies images, des passages bien sympas (chorégraphie de malades, karaoké pas évident, Lambert Wilson un peu à contre emploi par moment
Moi j'aime bien Géraldine Nakache, mais hormis sa prestation, c'est aussi le rôle qui était vraiment petit et qui reste en dessous des autres.
Et comme dans d'autres film de Chabat et des sketchs des Nuls y a pléthore de gags visuels et détails cachés, qui en cas de multiples visionnages apporte un petit plus.
K_ramazof, aucun lien fils uniqueNi Dieu, ni maître, chuis le fils d'Osiris, chuis le plus fort, chuis le plus intelligent et je suis ....
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#1528Isenhart - Die Jagd nach dem Seelenfänger
Un téléfilm à relativement gros budget, qui nous vient directement du pays qui nous à gratifié de perles telle que Aus der Reihe Derrick. A ma grande surprise, je dois avouer avoir été agréablement surpris par cette fresque moyenâgeuse plutôt réussie.
Il ne s'agit pas d'un épique blockbuster ou on embroche du sarrasin par grappe, ni de la quête initiatique d'un jeune palefrenier partant occire un dragon. On est ici plongé dans l'ambiance du Saint Empire Germanique d'après les croisades et les grandes épidémies/famine, dans une sorte d'enquête policière mêlant les superstitions de l'époque et l'obscurantisme de la Sainte Église. Non sans rappeler le Nom de la Rose par certains aspects, il s'agit cependant d'une œuvre assez fraîche et honnête, avec une photographie agréable, et un casting plutôt convainquant. A noter que le doublage français est méritoire, et constitué de plusieurs voix familières.
Rollmops : n.m. Poisson cru et cuistre. Umoure draule, noir, aigri!
"Design is not just what it looks like. Design is how it works." (S.Jobs)
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#1529Pas vu mais selon ton texte, il te faudrait voir ça si ce n'est pas déjà fait :
D'une puissance !!!!!!
PS : A l'époque il savait CREER des affiches de film qui avait de la gueule. Et non pas de superposition photoshopée....
Les mots ne sont qu’un bruit, ce ne sont pas eux qui font avancer l’histoire. - John McTiernan
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#1530Sur la piste du Marsupilami
Qu'est-ce qu'on croyait qu'il n'existait pas, mais qu'il n'existe?
C'est officiel, j'ai définitivement perdu mon âme d'enfant. Je comprends pourquoi ce film fonctionne, et lui reconnaît effectivement une image vraiment réussie pour un film Français(je suis un peu plus mitigé par les CGI mais ça reste d'excellente facture), mais je ne peux m'empêcher de ressentir un certain malaise, comme pour la plupart des films basés sur des BD Franco-Belges de mon enfance.
L'oeuvre de Hergé ou de Franquin(mais je pourrais évoquer aussi Roger leloup, Goscinny et Uderzo et tant d'autres) font partie de souvenirs d'enfance très précis, et ce n'est pas simplement l'humour potache qui donnait corps à ces histoires(d'autant qu'il existait souvent plusieurs degrés de finesse, insoupçonnés de prime abord). La plume du dessinateur leur donnait une vie et un cachet qu'aucun acteur casté ne pourra imiter, et l'expérience de parcourir un album, planche après planche, en lisant mentalement les bulles avec des voix purement imaginaires faisait partie intégrale de l'expérience.
J'ai l'impression que ce film est destiné à des enfants d'aujourd'hui(le ton et l'humour), qui n'ont pas forcément d'attachement pour ces personnages, tout gavés qu'ils sont d'éponges au pantalons carrés et autres Ben Ten, mais pille le patrimoine culturel de la génération de leur parents pour racoler. Le Marsupilami est ici un prétexte pour mettre bout à bout un maximum de gags(de lourds à carrément lourdingues). Le film fonctionnerait parfaitement avec une créature différente et anonyme.
Oui, la scène du nid est très réussie, et le petit clin d'oeil final(qui à dit séquelle?) assez amusant, je dis pas que c'est un mauvais film, juste que ça reste un film de Chabat avant d'être un film sur le Marsupilami, avec des dialogues taillés sur mesure pour Djamel, qui joue du Djamel(et des putains de chorégraphies avec des vrais morceaux de Karaoké dedans, pouahhhh).
Je sais, je suis un vieu con réactionnaire dans certains domaines!
Rollmops : n.m. Poisson cru et cuistre. Umoure draule, noir, aigri!
"Design is not just what it looks like. Design is how it works." (S.Jobs)