J'aime ce texte,... je vous le fait partager

"Letizia" wrote:

"Yanhof" wrote:

Bon ben on est au moins 3 à n'avoir rien compris à la poésie

ouai mais pour nous y'a toujours des mauvaises langues (dont je tairais les noms) qui auraient pû dire "ah mais c'est des filles", mais toi Yanhof, franchement... allez fait un effort, essaie encore

Mouarff yanhof poète. Non Letizia oublie

"p'tite Mimi" wrote:

"Letizia" wrote:

"Yanhof" wrote:

Bon ben on est au moins 3 à n'avoir rien compris à la poésie

ouai mais pour nous y'a toujours des mauvaises langues (dont je tairais les noms) qui auraient pû dire "ah mais c'est des filles", mais toi Yanhof, franchement... allez fait un effort, essaie encore

Mouarff yanhof poète. Non Letizia oublie

Je pensais pas à ça, juste que c'est pas une fille LUI

Oui mais en plus il est pas poète du tout donc tu peux vraiment oublier

Parce qu'un mec doit être + sensible à la poésie que les femmes ???

ça n'empêche pas que je n'ai pas compris la moral de la petite histoire de fil

ce qui est sûr, c'est que j'ai vite laché le fil de l'histoire qui nous tient. mais en s'allongeant, ce fil c'est transformé en elastique et ce petit elastique c'est cassé... en tous cas dans mon cas

c'est quand qu'il descant ce top-ic qu'on puisse le finir ???

PAGE 2

"Jack's" wrote:

L’instant d’être-deux.

Et le temps et l’espace qui s’effacent dans le balai des corps qui se cherchent, se rencontrent, se perdent et se trouvent à nouveau.
Ultime sensation d’être soi, rencontre en miroir sans teint. Evidence soudaine de l’être et de l’autre.
De l’être de l’autre et de l’être-autre. L’existence qui se rattache au fil du désir. Plus rien d’autre que l’entre-deux.
Glissement progressif. Lentement. Lentement. Tout glisse, tout s’efface.
L’instant. Et encore l’instant d’après. Plus qu’un fil. Plus qu’un fil tendu. Si tendu qu’il pourrait casser.
A chaque instant. Il va casser. Non. Il tient. Le fil. Encore il tient. On est là. Toi. Moi. On est là. Et le fil tient.
Et Toi, et Moi, et le fil. Il tient. On tient. Un instant encore. Juste un instant. Le fil. Toi. Moi. Le fil.
Tout tient. Toi. Le fil. Nous.

très sympa, c'est le dernier single de mylène farmer ?

Je me demande si le titre n'aurait pas dû être:
"Je n'ai rien compris à ce texte...pouvez-vous me l'expliquer!"

"Jack's" wrote:

"LOo" wrote:

Je me demande si le titre n'aurait pas dû être:
"Je n'ai rien compris à ce texte...pouvez-vous me l'expliquer!"

Ben non car je crois qu'il faut avoir l'esprit libre et être prêt à se mettre dans la peau de l'autre de vouloir ne faire qu'un avec sa compagne ou son compagnon pour pouvoir saisir le sens de ce texte...

Donc les célibataires qui travaillent 7 jours sur 7 n'ont auncune chance de comprendre ce texte...

me voilà rassurer

Ben moi aussi ça me rassure du coup

J'aime quand tu reconnais ton erreur

Bon on peu avoir la traduction ou pas

Tous poète qui se respecte en peu, devrait arriver à vulgarisé un texte incompréhensible des non initier

c'est quand qu'il descant dans le délire ce top-ic qu'on puisse poètiser tous ça

"Jack's" wrote:

L’instant d’être-deux.

(...) Plus qu’un fil. Plus qu’un fil tendu. Si tendu qu’il pourrait casser.
A chaque instant. Il va casser. Non. Il tient. Le fil. Encore il tient. On est là. Toi. Moi. On est là. Et le fil tient.
Et Toi, et Moi, et le fil. Il tient. On tient. Un instant encore. Juste un instant. Le fil. Toi. Moi. Le fil.
Tout tient. Toi. Le fil. Nous.

...au moins on aura appris qu'il faut garder le fil, car le Fil nous tient...il faut donc qu'Il tienne!....sans ce Fil rien ne tient....

Gromono!....maintenant tu sais à quoi ça tient!!!! 8 )

PS moi j'ai aimé ton texte Jack!.... ...(...et je l'ai compris )

"Jack's" wrote:

L’instant d’être-deux.

Et le temps et l’espace qui s’effacent dans le balai des corps qui se cherchent, se rencontrent, se perdent et se trouvent à nouveau.
Ultime sensation d’être soi, rencontre en miroir sans teint. Evidence soudaine de l’être et de l’autre.
De l’être de l’autre et de l’être-autre. L’existence qui se rattache au fil du désir. Plus rien d’autre que l’entre-deux.
Glissement progressif. Lentement. Lentement. Tout glisse, tout s’efface.
L’instant. Et encore l’instant d’après. Plus qu’un fil. Plus qu’un fil tendu. Si tendu qu’il pourrait casser.
A chaque instant. Il va casser. Non. Il tient. Le fil. Encore il tient. On est là. Toi. Moi. On est là. Et le fil tient.
Et Toi, et Moi, et le fil. Il tient. On tient. Un instant encore. Juste un instant. Le fil. Toi. Moi. Le fil.
Tout tient. Toi. Le fil. Nous.

Waou...même les modos savent être 'poetes!'....chouette!