Moto & Hiver

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Conseils pour les jours de grand froid

C’est bientôt l’hiver. C’est le moment d’accorder à votre moto le repos qu’elle mérite. Voici nos conseils pour un bon remisage.
15.10.2013 Gerhard Enggist/Stefan Luginbühl
La saison de moto touche à sa fin, c’est bientôt l’hiver. Il est temps de préparer votre moto pour l’hiver. Globalement, deux possibilités s’offrent à vous: le faire vous-mêmes ou le faire faire par quelqu’un. 

Première possibilité: hivernage à la maison

Laisser sa moto dormir dehors? Mauvaise idée.

L’avantage de garer sa moto chez soi est que lorsqu’il fait beau, vous pouvez sortir votre moto pour aller faire une balade. Il faut seulement lui faire une nouvelle toilette au retour. C’est à chaque propriétaire de décider si ce mode d’hivernage est judicieux ou non. 

En principe, un gros entretien n’est pas nécessaire avant l’hivernage. Ce n’est pas pour autant que vous devez laisser votre moto dans la rue. 

Voici les précautions à prendre pour que votre machine supporte bien l’hiver: 

 nettoyez votre machine en profondeur et laissez-la sécher
 remplissez entièrement le réservoir afin que l’eau ne puisse pas condenser.
 démontez la batterie ou branchez-la au courant.
 gonflez les pneus à environ 1 bar au dessus de la valeur normale.
 mettez votre machine sur la béquille ou sur des cales.
 entreposez votre moto dans un endroit sec. Une couverture la protège de la suie et de la poussière. __________________________________________________________________ 

Désormais, la plupart des assurances ne demande plus d’envoyer la plaque d’immatriculation. Au contraire: le mot d’ordre est «renoncer à la suspension». Afin de s’éviter (ainsi qu’aux assurés) de la paperasse administrative, de nombreuses compagnies d’assurance proposent de souscrire à des primes à l’année pour lesquelles il n’est plus nécessaire de déposer les plaques d’immatriculation à l’office de la circulation routière. En effet, ces primes tiennent compte du fait que les motards roulent moins pendant l’hiver, la prime annuelle coûte donc un peu moins cher.

__________________________________________________________________ 

Deuxième possibilité: hivernage chez un professionnel

Mieux vaut jouer la sécurité: confier votre machine à un professionnel.

De plus en plus de concessionnaires proposent un service d’hivernage. Les motards peuvent ainsi confier leur petit bijou à un professionnel. Pour un forfait d’environ 100 francs et une indemnité journalière d’un franc, les concessionnaires proposent un hivernage des deux roues sécurisé et approprié.

Ces derniers procèdent de la même manière qu'un particulier: ils démontent la batterie et nettoient la moto. À la fin de l'hiver, il faut effectuer un contrôle, remonter la batterie et essayer la machine, services compris dans l'offre.

Merci pour toutes ces infos.... Justement me posais pleins de question pour mon premier hivernage qui va commencer des la fin du week end....

Encore juste une question, je n'ai pas de béquilles, y a-t-il d'autre trucs ou astuces pour une moto qui reste au sol...?!? (ex... Sajex?) mici d'avance....

Tigusgirl, j'ai une béquille de stand à la cave (mais seulement arrière). Comme je n'ai pas de moto pour l'instant, je te la prête volontiers.

IMAGE(<a href="http://www.motardes.ch/images/banniere.gif" rel="nofollow">http://www.motardes.ch/images/banniere.gif</a>)
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Sagex, mauvaise idée...y'a toute les chances qui "fusionne" avec le pneu. En fait, la béquille, c'est pour éviter que le pneu soit sollicité toujours au même emplacement, donc si on a pas, il suffit de déplacer la moto (toute les deux-trois semaines) de quelques disaines de cm.

Pis sinon, le plus simple, c'est de rouler avec aussi en hiver Smiley  540

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Les motos japonaises ? bof ! elles ont un moteur bridé...

on est vraiment dans les extrêmes là, et chaque année les question reviennent. Merci Balisto pour les info données plus haut, mais on est pas "tenu" de procéder de la sorte. Mes motos reposent en position normale sur leurs béquilles latérale, pas de sur-gonflage, pas de débranchement de batterie, par contre, plein de réservoir obligatoire effectivement, nettoyées, stockées au sec (mais pas forcément hors-gel) et certaines (la chanceuse) sous bâche. Ca me permets de rouler de temps en temps, si tout d'un coup nous avons un we magnifique avec un gros redoux. (comme c'est déjà arrivé)

Si la batterie est en bon état, ça ne posera pas de problème au printemps, au besoin, un coup de chargeur 24h avant la mise en service. 

Il faut surtout éviter de faire démarrer la moto toutes les 3 ou 4 semaines juste quelques minutes sans rouler, ça a une fâcheuse tendance à fusiller les batteries qui n'ont pas le temps de charger. Je procède comme ça depuis environ 30 ans et je n'ai jamais eu de problèmes autre qu'une batterie qui était déjà fatiguée avant l'hiver et qui décide de ne plus travailler correctement au réveil. Dans ce cas, je mets une batterie neuve et je sais que je serais tranquille  pour toute la saison Icon wink 

Laissons dire et faisons bien Icon wink IMAGE(<a href="http://zupimages.net/up/16/50/d83x.jpg" rel="nofollow">http://zupimages.net/up/16/50/d83x.jpg</a>) IMAGE(<a href="http://www.motards.ch/forum/modo.jpg" rel="nofollow">http://www.motards.ch/forum/modo.jpg</a>)

Moi ma moto n'a jamais hiv/berné Icon smile Je roulais toute l'année O:-)

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Balisto wrote:

Moi ma moto n'a jamais hiv/berné Icon smile Je roulais toute l'année O:-)

on est pas tout à fait dans la même région, mais je ne pose pas les plaques pour autant Icon wink

Laissons dire et faisons bien Icon wink IMAGE(<a href="http://zupimages.net/up/16/50/d83x.jpg" rel="nofollow">http://zupimages.net/up/16/50/d83x.jpg</a>) IMAGE(<a href="http://www.motards.ch/forum/modo.jpg" rel="nofollow">http://www.motards.ch/forum/modo.jpg</a>)

Balisto wrote:

Tigusgirl, j'ai une béquille de stand à la cave (mais seulement arrière). Comme je n'ai pas de moto pour l'instant, je te la prête volontiers.

Merci bcp Balisto pour la proposition, mais je pense que je vai la laisser au sol et la bouger de temps a autre et regonfler les pneu des que besoin! Icon wink

papy cosmo wrote:

Mes motos reposent en position normale sur leurs béquilles latérale, pas de sur-gonflage, pas de débranchement de batterie, par contre, plein de réservoir obligatoire effectivement, nettoyées, stockées au sec sous bâche. Ca me permets de rouler de temps en temps, si tout d'un coup nous avons un we magnifique avec un gros redoux. (comme c'est déjà arrivé)

Si la batterie est en bon état, ça ne posera pas de problème au printemps, au besoin, un coup de chargeur 24h avant la mise en service. 

Il faut surtout éviter de faire démarrer la moto toutes les 3 ou 4 semaines juste quelques minutes sans rouler, ça a une fâcheuse tendance à fusiller les batteries qui n'ont pas le temps de charger. Je procède comme ça depuis environ 30 ans ...

Je fais exactement pareil. J'essaye de rouler durant la mauvaise saison au moins un fois par mois une vingtaine de km avec chacune de mes bécanes, histoire de chauffer correctement leur moulin.

IMAGE(<a href="http://i39.servimg.com/u/f39/15/59/67/12/fot_ib18.jpg" rel="nofollow">http://i39.servimg.com/u/f39/15/59/67/12/fot_ib18.jpg</a>) a big v-twin, what else ?

 j'ai vu cela sur michelin.fr

Quote:

L’hiver impose non seulement une conduite adaptée, mais aussi des contraintes supplémentaires, autant pour rouler en sécurité que pour préserver notre destrier chéri de la corrosion.

N’oubliez pas de maintenir graissés les organes mobiles. Le froid raidit les commandes, induisant une moindre précision et une possibilité de rupture des câbles usagés (embrayage, accélérateur, compteur, frein sur les motos anciennes). Si possible, démontez les pièces avant de les lubrifier et faites-les jouer pour permettre à la graisse de pénétrer. Surveillez aussi les axes des leviers et pédales.

Le froid fait également stagner l’humidité dans les cosses et connexions électriques du faisceau. Pulvérisez un produit anticorrosion (nettoyant de contacts) sur chacune.

Graissez la chaîne plus fréquemment : celle-ci n’apprécie pas trop l’humidité et encore moins le sel d’épandage.

De façon générale, le sel corrode très vite tous les éléments métalliques. Après chaque sortie, passez tout le bas de votre moto au jet d’arrosage avec de l’eau froide. Surtout pas d’eau chaude ! L’eau chaude dissout le sel et le fait pénétrer partout, alors que l’eau froide le fait partir en gros cristaux.

Pensez à l’état de vos pneus : profondeur de sculptures adaptée aux routes trempées (moins de 50 % d’usure) et pression adéquate (sous-gonfler ne sert à rien). Attention particulièrement aux gommes hypersport qui restent dures comme du bois tant qu’elles n’ont pas atteint leur température idéale, quasi impossible à atteindre en hiver.

Protégez vos chromes : eux non plus n’apprécient guère le sel d’épandage. Passez l’ensemble de la moto au produit protecteur « carrosserie et alliages », sauf les freins et le pot d’échappement, évidemment !

Attention aux freins justement, les étriers grippent facilement. Si possible, passez l’intérieur des étriers (côté pistons) au nettoyant de freins (dégraissant), à nettoyer ensuite à la soufflette (demandez gentiment à un garage si vous n’avez pas de compresseur chez vous). Et évitez les plaquettes de freins « racing » hypermordantes.

Veillez à ce que la batterie réponde présent chaque matin. Remplacez-la avant qu’il ne soit trop tard ou investissez dans un chargeur spécial moto à charge lente. Jetez un oeil aux bornes et, si nécessaire, graissez-les. Une batterie ne supporte bien le froid que si elle est chargée et ce en permanence; il faut donc veiller à conserver un courant de charge optimal en brossant les connexions et en les protégeant contre la corrosion (paraffine ou vaseline solide).

Les suspensions doivent être réglées souples ! Un amortisseur réglé ferme réduit l’adhérence sur sol glissant. Le réglage du ressort (précontrainte) peut rester inchangé (valeur de base), mais l’hydraulique de l’amorto (détente) doit devenir plus souple.

Un « check-up » complet auprès de votre concessionnaire habituel ne peut qu’être bénéfique.

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et sinon vous pouvez aussi faire comme nous et rouler l'hiver en prenant les précautions suivantes:

LUTTEZ CONTRE LE FROID

Augmentez votre température interne par une activité musculaire. Bougez sur la moto, une jambe après l’autre, un bras puis l’autre. Arrêtez-vous plus souvent pour vous réchauffer et bougez ! Faites des moulinets des poignets et des bras, même aux feux rouges.

Profitez de la source de chaleur principale de votre machine : son moteur. À la pause, rapprochez-en vos mains nues pour les réchauffer (sans le toucher, bien sûr). Vous vous arrêtez quelques minutes ? Mettez vos gants au plus près du moteur, coincés sous le carénage ou posés sur les cylindres pour un flat-twin.

Pour vous réchauffer, approchez les mains d’une source de chaleur (radiateur), mais ne les mettez pas en contact direct ! Le froid anesthésie : rien de pire que de plonger des mains ou des pieds glacés dans l’eau très chaude, vous ne feriez que les brûler. Mettez-les sous l’eau tiède et augmentez très progressivement la température.

À la fin d’un long trajet hivernal, on est parfois tenté d’accélérer ou de zapper la dernière pause pour arriver plus vite. Erreur fatale ! Les derniers kilomètres sont ceux où l’on est le plus fatigué, le moins attentif et donc ils sont le plus accidentogène.

MÉFIEZ-VOUS DES PIÈGES DE LA ROUTE

Augmentez les distances de sécurité avec les véhicules vous précédant. Non seulement le sol peut être glissant, ce qui augmente la distance d’arrêt, mais en cas de neige ou de glace sur la route, des paquets de neige sale s’accumulent dans les passages de roue des voitures et des camions. D’un coup, ils se détachent et tombent juste devant vos pneus…

Autre phénomène, la pellicule de givre qui se forme sur les carrosseries ou les bâches des camions et peut se détacher sous l’effet de la vitesse ou d’un coup de vent. Vous envoyant ainsi des glaçons en pleine figure !

Se méfier également des véhicules de salage qui projettent du sel, du sable, de la neige sur les côtés et derrière eux. Ne les suivez pas de près et si vous en croisez un, ralentissez et serrez à droite, le plus loin possible.
À ce propos, ne croyez pas que suivre une saleuse vous permettra de rouler tranquillement. Le sel qu’elle dépose sur la chaussée ne fera fondre la neige ou le verglas qu’au bout de 20 minutes environ. Pire, le salage maintient une humidité constante sur le revêtement et crée même parfois une pellicule de crasse, mélange de neige fondue et de projections diverses, extrêmement glissante.

RAPPORT FROID / VITESSE

Gardez à l’esprit que plus vite vous roulez, plus le vent relatif augmente et la température ressentie diminue.

  • Ainsi, pour une température ambiante de 10 °C à l’arrêt sans vent, la température ressentie sur la peau nue du motard au guidon d’une moto non carénée sera déjà de -2 °C à 50 km/h et de -6 °C à 130 km/h.
  • De même, un 0 °C à l’arrêt se transformera en -20 °C à 90 km/h et -21 ° à 130 km/h.
  • Par -5 en ambiant, on arrive très vite à -25 à 50 à l’heure, -28 à 90 et -29 à 130…
  • Quand vous démarrez par -10 °, il fera déjà -33 °C à 50 km/h et -37 °C à 130 km/h !

PLUIE, BROUILLARD ET BUÉE

Par temps froid et sec, aucun problème particulier ne se pose. Simplement, n’oubliez pas que l’air ambiant étant plus froid, il faudra plus de temps à votre moteur pour parvenir à sa température de fonctionnement et plus de temps aux pneus pour atteindre leur adhérence optimale.

Par temps de pluie, rien d’autre à faire que de réduire la vitesse. Rappelez-vous aussi que le fait d’être mouillé multiplie par cinq la vitesse de refroidissement de votre organisme. Pour rester au chaud, soyez parfaitement étanche ! Sinon, arrêtez-vous le temps de sécher.

Par temps de brouillard, la route est mouillée, les mêmes conseils s’appliquent. Il faudra en revanche tenir compte d’une visibilité encore plus réduite, pour vous comme pour les autres. Diminuez encore plus la vitesse !

Vérifiez aussi que votre feu de croisement est bien allumé, mettez les warnings si vous en avez ou enclenchez les feux antibrouillard si votre moto en est équipée… Inutile de mettre le feu de route, le faisceau lumineux intense serait renvoyé par les gouttelettes d’eau en suspension dans l’air et vous y verriez encore moins bien, surtout de nuit. Si possible, enfilez un gilet ou une chasuble réfléchissante, mettez un brassard à diodes.

Si vous portez des lunettes, ne commettez pas l’erreur de relever l’écran de votre casque. La condensation se formerait alors directement sur les verres de vos lunettes et vous deviendriez quasi aveugle. Entrouvrez légèrement l’écran s’il s’embue, mais ne l’ouvrez pas complètement. Essuyez fréquemment l’extérieur de l’écran avec un doigt de votre gant, si possible doté d’une raclette. Si vous prévoyez de rouler dans le brouillard, usez et abusez des produits anti-buée ou d’un double écran « pinlock ».

GEL, VERGLAS ET NEIGE

S’il pleut et qu’il gèle, il est probable que vous rencontrerez du verglas. Et donc vous risquerez de perdre l’adhérence de vos roues. Faites particulièrement attention dans les endroits venteux (ponts, gorges), les tunnels, les sous-bois où le soleil ne perce pas, les versants de montagne au nord, etc.

Si c’est en ligne droite et que la plaque de verglas n’est pas trop longue, ne freinez surtout pas, regardez loin droit devant vous, ne vous crispez pas et vous avez une chance de raccrocher le bitume. Si c’est dans un virage, c’est fini, vous êtes par terre. Et toute route finit par tourner… Ne tentez pas le diable.

S’il neige, ça commence à devenir rock ‘n roll… Dans la mesure du possible, si vous arrivez à prévoir la chute de neige, évitez de prendre la route en deux-roues. D’abord, ça glisse un peu quand même, et surtout la visibilité est très mauvaise. La neige vient se coller sur l’écran du casque, on ne voit rapidement plus rien, il faut l’essuyer toutes les dix secondes.

Rouler dans la neige fraîche et poudreuse n’est pas plus compliqué que sur une route détrempée. Essayez au maximum de suivre les traces des pneus des véhicules qui vous précèdent, tout en évitant les endroits où la neige est damée, compressée et bien souvent glacée. Sur neige, on roule en deuxième à 10 km/h, les deux pieds sortis pour rattraper les petites glissades, sans freiner ni accélérer. Tout à l’embrayage ! Apprenez à repérer le point de patinage de l’embrayage et allez-y tout doux sur les gaz.

IMAGE(<a href="http://www.kirikoo.net/images/14Anonyme-20120413-180127.jpg" rel="nofollow">http://www.kirikoo.net/images/14Anonyme-20120413-180127.jpg</a>)

-"J’frêne comme un clebs et je me jette à la corde!"
-"T’es vraiment un clébard de l’attaque toi ! "

perso les précautions que je prends c'est surtout nettoyage de la moto au jet après la balade et graissage de la chaine.

et un coup de vulcanet

IMAGE(<a href="http://www.kirikoo.net/images/14Anonyme-20120413-180127.jpg" rel="nofollow">http://www.kirikoo.net/images/14Anonyme-20120413-180127.jpg</a>)

-"J’frêne comme un clebs et je me jette à la corde!"
-"T’es vraiment un clébard de l’attaque toi ! "